J’irai tuer pour vous

J’irai tuer pour vous
Flammarion (octobre 2018) 640 p.
1985. À Paris, une vague d’attentats. À Beyrouth, des prises d’otages. Marc Masson, un déserteur parti à l’aventure en Amérique du Sud, est soudain rattrapé par la France. Recruté par la DGSE, il va devenir assassin pour le compte de l’État. Alors que tous les Services sont mobilisés sur le dossier libanais, les avancées les plus sensibles sont parfois entre les mains d’une seule personne… Jusqu’à quel point ces serviteurs, qui endossent seuls la face obscure de la raison d’État, sont-ils prêts à se dévouer ? Et jusqu’à quel point la République est-elle prête à les défendre ? Des terrains d opérations jusqu’à l’Élysée, des cellules terroristes jusqu’aux bureaux de la DGSE, Henri Loevenbruck raconte un moment de l’histoire de France qui résonne particulièrement aujourd’hui dans un roman d’une tension à couper le souffle. Pour écrire ce livre, il a conduit de longs entretiens avec « Marc Masson » et recueilli le récit de sa vie hors norme.

Quand la réalité dépasse la fiction… Un roman percutant, une plongée vertigineuse dans le destin incroyable d’un homme d’exception. Entre secrets d’état et solitude d’un serviteur de la République, un roman émouvant et dont on ne ressort pas indemne.

PRESSE :

« Brillant ! Un roman percutant, aussi létal que son héros ! » (OlivierBureau, Le Parisien)
« Époustouflant ! » (La Voix du Nord)
« L’un des meilleurs polars à offrir pour Noël ! » (Chloé Ronchon, CNEWS)
« Une verve romanesque et une construction impeccables, le cadeau deNoël parfait pour les amateurs de thriller » (Anne Brigaudeau, France Info)
« Le style comme les rebondissements sont haletants, les personnagessont exceptionnels. Un roman solide,puissant et finalement empreint d’une certaine nostalgie. » (Stéphane Bugat, Le Télégramme)
« Un formidable roman sur une vie encore plus dingue que la fiction. » (Karen Lajon, Le JDD)
« Un page turner. Comme dans un bon film d’action mené à toute blinde,on est propulsé sur le terrain, l’espoir et la peur au ventre » (Catherine Castro, Marie-Claire)